Patrimoine à roulettes

<div>A quelques pas de la pompe de l’Ange vers le Pizza Hut, levez les yeux et vous apercevrez un pignon dont les briques recouvertes à la feuille d’or surplombent le quartier commerçant. Ce mur n’a pas été réparé, l’or agit ainsi comme un révélateur de chaque trace se trouvant dans la terre cuite : fissures, déformations, éclats… C’est le jeu de la lumière sur l’or qui révèle ce qui était pourtant invisible tout en cachant son propre support, sorte de pudeur de la matière qui se révèle.&nbsp;</div><div>&nbsp;</div><div>Financée par les entreprises mécènes du collectif Namosa de Prométhéa, « L’empreinte de l’Ange » est un projet collaboratif entre Patrimoine à Roulettes et le Centre d’Expression et de Créativité LST (Lutte, Solidarité, Travail), mouvement d’éducation permanente et de lutte contre la pauvreté.&nbsp;</div><div>&nbsp;</div><div>L’installation a pour but d’aborder les questions de mémoire et d’oubli, d’identité et de collectivité, de richesse et de précarité. En résonance à ce projet, le mouvement LST a créé le parcours sonore « Empreintes dans la ville » qui invite à déambuler sur les traces de la vie et des combats des plus pauvres. &nbsp;</div><div>&nbsp;</div>

L'Empreinte de l'Ange

Marion Demeulenaere

<div>Avec ses lettrages et son grain vintage, son univers coloré et ses jeux de mots savoureux, Marion Demeulenaere fait sa joyeuse entrée dans la capitale wallonne ! Cette illustratrice diplômée de la Cambre en typographie a décliné des éléments du folklore, de la gastronomie et du patrimoine namurois pour en faire des affiches publicitaires « à l’ancienne ». Sa source d’inspiration ? Raymond Savignac (1907-2002), « l’homme qui fait sourire les murs et réfléchir le papier ».&nbsp;</div>

HELL'O

<div>Plein de peps et de couleur, la fresque fait référence à l'artiste d'origine namurois Félicien Rops (1833-1898), à quelques pas de son musée. Jérôme Meynen et Antoine Detaille ont représenté l’artiste namurois exhibant la mort dessinée de manière chimérique et graphique, avec détachement et légèreté. Comme Rops était grand fan de botanique, la composition est agrémentée de vases et de plantes. Un squelette se transforme à son tour en plante en référence à l'œuvre "Les épaves". La demi-lune au centre de la composition rappelle l'endroit à Corbeil-Essonnes où l’artiste s'était installé. Les trois personnages sur la droite évoquent les femmes qui ont traversé la vie de Rops. L’une d'entre elles porte le bandeau sur les yeux en clin d’œil à "Pornocratès", son œuvre la plus emblématique.&nbsp;</div>

Clien d'oeil à Féliciens Rops

KAHEF

<div>Fresque réalisée en 2021 par le Namurois Sébastien Limbourg, alias Kahef, en hommage à la Société royale Moncrabeau, appelée aussi « Les 40 Molons », qui allie le folklore namurois, la philanthropie et l’art oratoire de la menterie (l’art de raconter le meilleur mensonge, c’est-à-dire, le plus vraisemblable et le plus drôle). Fondée en 1843, elle s’inspire du village français Moncrabeau (« Mont des Chèvres » en gascon) qui a créé l’Académie des Menteurs, en 1748. La fresque représente, sur la gauche, un Menteur gascon, sur la droite un Molon namurois et au milieu, une chèvre, symbole du village de Moncrabeau.&nbsp;</div><div>&nbsp;</div><div><em>Réalisation 40 Molons, CCW, NEW, #Namur inc / Ville de Namur</em></div>

Moncrabeau

DÉMOSTHÈNE STELLAS

<div>Dans le prolongement de la fresque de la Villa Balat, en bordure de Meuse, cette peinture monumentale a vu le jour fin juin 2022 sur le pignon du Glacetronome. Elle est l’œuvre de l’artiste namurois&nbsp; <strong>Démosthène Stellas</strong> (collectif Drash), qui a exercé ses talents de graffeur partout en Europe et dernièrement au Kosovo où il a réalisé des fresques, notamment sur un terrain de football et un escalier. Cette fresque présente le cycle de vie d’une plante en y intégrant l’eau, la terre et l’air dans des teintes proches de celles utilisées pour la Villa Balat avec un soupçon de jaune afin de figurer la lumière (le feu). Un écran brisé par des plantes évoque la nature qui reprend ses droits sur la technologie.&nbsp;</div>

Untitled

PsoMan

MisterGillus

Vanessa Mohrhardt

<div>Réalisée par les jeunes du quartier de Germinal sous la houlette de Vanessa Mohrhardt et <a href="https://www.facebook.com/mistergillus?__cft__[0]=AZVVaM_oFATKhLDEq9CQOgY5uBvjeIk4QlXj9oL7xTBRj_Y8vzoJEC2Zhv8Usig7LN0QzN8-2h8dyJ6tvwwVOakqMuoRNfPdaz9BiKrzeOGs89n6zbvdF6feQLk5pFEy22BZtMp8HwhEQ2myuzO3xg9uSWFMsWO80zI4fNjIp37svlwk6hQ7-8WlcN9hYO276bY831HRhewQZ9TMbHoJoi8j&amp;__tn__=-]K-R">MisterGillus</a>, l'oeuvre s’est nourrie des idées et avis des habitantes et habitants sondés sur leur « Quartier Idéal ». Objectif ? Tisser du lien en misant sur l’expression artistique.&nbsp;</div>

Quartier idéal

Samuel Idmtal

<div>La fresque réalisée à Salzinnes rend hommage à l'artiste et photographe Pierre Dandoy (1922 – 2003), figure emblématique de Namur avec sa longue barbe blanche, son éternelle casquette sur la tête et son appareil photo en bandoulière. Peintre pochoiriste, l’artiste bruxellois Samuel Idmtal a choisi de jouer sur la couleur et le noir et blanc dans une mise en abîme du photographe, mêlant une photo de deux enfants en bord de Sambre prise dans les années 50 et un portrait de Pierre Dandoy en action. Son titre fait référence à la pluie sur le halage. Mais on peut y voir une allusion aux inondations ou au réchauffement climatique. A chacun son interprétation !&nbsp;</div><div>&nbsp;</div>

La pluie ne fait pas le même bruit quand elle tombe ici 

Oli-B

<div>La fresque faite de motifs géométriques habille la façade de l’institut Sainte-Marie, dans le quartier piétonnier. Elle prolonge l’habillage aux couleurs pop et vibrantes que l’artiste a conçu dans la voute d’entrée, mais affiche des tons plus discrets, mêlant le blanc à des nuances de gris et des touches pastel, pour mieux s’intégrer dans le cœur historique de Namur. Oli-B l’a baptisée « Exploration », en référence à cette nouvelle orientation dans son travail artistique et au fait que la fresque ne se révèle qu’à celles et ceux qui prennent le temps de lever les yeux pour contempler le patrimoine !&nbsp;</div>

Exploration

Bozik

Gooze

Treepack

<div><strong>EN<br></strong>Three elephants in single file plunge into the ocean ... Directed by Gooze and Bozik, two Russian artists from the Belgian collective Treepack (Leuven), Elephantlantis evokes the notion of vitality: everyone needs to "recharge their batteries". The clarity and purity of the water at the top of the fresco gives off an impression of freshness. On the other hand, the water at the bottom is darker, which gives the work a more mysterious side. A few steps from Louise-Marie Park and the Sambre, this surrealist decor brings color and a breath of fresh air to the "travelers" who connect Namur and Salzinnes, leaving from the station. <br>&nbsp; <br>Gooze is a muralist, street artist and painter from Krasnodar, southern Russia. He has been working in this field for over 15 years and seems to have found the job of his dreams. From a young age, he draws pretty much everything to do with concept art and creatures of the unknown. With a marked interest in Fantastic Realms and the use of a very rich and saturated color palette, he creates the most illustrious works on any surface in a style that clearly stems from his days in the clothing industry. game (creator of concepts and characters). He is also influenced by the "big and beautiful world", where reptilian and amphibious creatures meet. <br>&nbsp; <br>Bozik lives in the city of Kazan, Russia. He loves to draw, which is very recognizable in the creative approach to his projects where heart and soul shine through. For him, there is no better artist than nature. It is for this reason that he adds color to his works, simply to showcase the magnificent beauty of this world which is lost because of concrete and steel constructions. Bozik's style is inspired by the ancient techniques of the Australian Aborigines. Dot painting - or dot drawing - is already thousands of years old, and in his eyes it makes the perfect combination with graffiti. It is not only aerosol cans that keep him alive: he also creates works of art of all types, styles and complexity, on walls, canvases, and even on small notebooks and skulls!<br>--<br><br><strong>FR</strong><br>Trois éléphants en file indienne plongent dans l’océan... Réalisée par Gooze et Bozik, deux artistes russes du collectif belge Treepack (Leuven), Elephantlantis évoque la notion de vitalité: chacun a besoin de se « ressourcer ». La clarté et la pureté de l’eau au sommet de la fresque dégagent une impression de fraîcheur. En revanche, l’eau du fond est plus sombre, ce qui confère à l’œuvre un côté plus mystérieux. A quelques pas du parc Louise-Marie et de la Sambre, ce décor empreint de surréalisme apporte de la couleur et une bouffée d’air frais aux «voyageurs» qui relient Namur et Salzinnes, au départ de la gare.</div><div>&nbsp;</div><div>Gooze est un muraliste, un artiste de rue et un peintre de Krasnodar, dans le sud de la Russie. Il travaille dans ce domaine depuis plus de 15 ans et semble avoir trouvé le travail de ses rêves. Depuis son plus jeune âge, il dessine à peu près tout ce qui a trait au concept art et aux créatures de l'inconnu. Avec un intérêt marqué pour les royaumes fantastiques et l'utilisation d'une palette de couleurs très riche et saturée, il crée les œuvres les plus illustres sur n'importe quelle surface dans un style qui provient clairement de ses jours dans l'industrie du jeu (créateur de concepts et de personnages). Il est également influencé par le « grand et beau monde », où se croisent créatures reptiliennes et amphibies.&nbsp;</div><div>&nbsp;</div><div>Bozik vit dans la ville de Kazan, en Russie. Il aime dessiner, ce qui est très reconnaissable dans l’approche créative de ses projets où transparaissent le cœur et l'âme. Pour lui, il n'y a pas de meilleur artiste que la nature. C'est pour cette raison qu'il ajoute de la couleur à ses œuvres, simplement pour mettre en valeur la magnifique beauté de ce monde qui se perd à cause des constructions en béton et en acier. Le style de Bozik s'inspire des anciennes techniques des Aborigènes australiens. La peinture par points - ou le dessin par points - est déjà vieille de plusieurs milliers d'années et, à ses yeux, elle constitue la combinaison parfaite avec le graffiti. Ce ne sont pas seulement les bombes aérosols qui le font vivre : il crée également des œuvres d'art de tout type, style et complexité, sur des murs, des toiles, et même sur des petits carnets et des crânes !</div>

Elephantlantis

<div>Marion Demeulenaere de l'<a href="https://www.facebook.com/ateliertonpiquant?__cft__[0]=AZUnogSXoxr7DrnXfjmqVsKAyMQTyNp2Uq8v844mLgixeY-BNSMLI6JytSvEakVqQqMsPyjS8jdRTocJF2bymlYjfUbCYjZ2ECiNoxSBHF6LyY85hzbw80dGSdx0gr9CHikgT2tzmXwcKW4dn8l9JUdO1kVTCGV-WzMy2KDsGj-kgS6sjoClhANPv7JjP3XzKz58qGaomVvvgn1BBhIBzxLk&amp;__tn__=-]K-R">Atelier Tonpiquant</a> a apporté sa touche de fantaisie et de bonhomme humeur sur LE MUR du Square Léopold.&nbsp; L'artiste bruxelloise mêle motifs géométriques colorés et visages colorés dans des couleurs vives qui égayent cet ancien Pavillon du Tourisme devenu espace d'expression pour des artistes belges.&nbsp;</div>

Le Mur (fresque éphémère) 

Seba Kahef

<div>Des fleurs bariolées, des animaux un rien fantastiques, l'artiste namurois, Seba Kahef souffle un vent d'air frais au pied du Beffroi, seul monument de Namur classé Patrimoine de l’Unesco !</div><div>&nbsp;</div><div>Fresque réalisée à l’initiative de Namur Centreville dans le cadre de Namur Ville Fleurie</div><div>&nbsp;</div>

Namur Ville Fleurie

Jimmy Michaux

<div>Version contemporaine du Mythe d’Icare, cette fresque du namurois Jimmy Michaux est une métaphore de la crise écologique actuelle. Le jeune individu fixe quelque chose au loin. Il est aveuglé par le soleil qui symbolise ici les difficultés écologiques et technologiques qui nous attendent dans le futur si nous ne changeons pas notre mode de vie et de consommation. Une question dès lors s’impose : allons-nous nous brûler les ailes dans cette course effrénée ? <br><strong><br></strong><br></div>

Icarus

ESTEFAN

<div>Le street art s’invite dans le parking -1 de l’Hôtel de Ville où Stéphane Remond alias Estefan a conçu une peinture murale sur les murs et les pilastres. Composée de formes géométriques, cette œuvre évoque l’environnement urbain dans lequel le peintre évolue. Elle apporte de belles touches de couleurs pastelles dans un environnement plutôt sombre. &nbsp;</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur</li></ul><div><strong>&nbsp;</strong></div><div><br></div>

<div><br>&nbsp;« <em>Simplifiez, simplifiez encore, simplifiez toujours et quand vous aurez tout simplifié, vous n’aurez pas encore assez simplifié </em>» ! Cette phrase intégrée à la fresque de Démosthène Stellas constitue le leitmotiv d’Alphonse Balat, l’architecte de cette splendide villa mosane. Formé à l’Académie des Beaux-arts de Namur, puis d’Anvers, Balat est un des principaux architectes du roi Léopold II et le mentor de l’architecte Victor Horta. On lui doit les Serres de Laeken mais aussi le musée des Beaux-arts de Bruxelles.</div><div>&nbsp;</div><div>Ce principe de simplification cher à Balat, Démosthène du collectif Drash l’a appliqué à cette peinture monumentale inspirée par l’Art Nouveau, partant de quelque chose de réaliste pour arriver à des motifs simplifiés, voire suggérés. L’œuvre trouve également sa source dans le travail du photographe Blossfledt, précurseur de la macrophotographie et auteur des « <em>Essentielles </em>»,qui inspira de nombreux motifs ornementaux. Sa palette composée de nuances de verts évoque la nature mais aussi les teintes que prend la Meuse selon son humeur et les saisons.</div><div>&nbsp;</div><div>La fresque de la Villa Balat, qui trouvera un prolongement vers la rue Mazy, jouxte l’Enjambée, ouvrage d’art innovant qui respecte lui aussi ce principe de simplicité. Dans ce contexte, l’œuvre&nbsp; de Démosthène fait le lien entre le passé et le présent, les rives de Jambes et la Confluence. Elle invite les promeneurs à revenir à des choses simples, essentielles, dans un environnement propice à la contemplation et à la détente.</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Drash/ Ville de Namur</li></ul><div><br></div>

Simplifiez encore 

Leon Keer

<div><br>D’origine néerlandaise, Léon Keer est un artiste Street Art mondialement reconnu pour ses anamorphoses, ces œuvres en trompe-l’œil qui donnent l’illusion de la 3D. Il a exécuté des commandes en Europe, aux Etats-Unis, au Mexique, aux Emirats Arabes Unis, en Russie, en Australie et dans plusieurs pays asiatiques.</div><div>&nbsp;</div><div>Sur cet axe fort fréquenté de Namur, à proximité du futur Palais de Justice, Léon Keer a reçu pour mission de réaliser une fresque monumentale recouvrant un pignon du bâtiment des Archives de l’État. Une antique machine à écrire au-dessus de laquelle oscille un lampadaire côtoie de vieilles vidéocassettes. Cette anamorphose rappelle la fonction du lieu et invite à voyager au cœur de celui-ci.</div><div>&nbsp;<br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur</li></ul><div><strong><br><br></strong><br></div>

Farm Prod.

<div>La fresque réalisée par le collectif bruxellois Farm Prod est dédiée à la Frairie des Masuis et Cotelis jambois, groupe folklorique qui a fêté ses 60 ans en 2020. Située sur la façade de l’Espace Laloux, près du parc Astrid de Jambes, l’œuvre très colorée fait approximativement 10m de long sur une hauteur de 5m en arc de cercle. Ses concepteurs ont souhaité réalisé une fresque contemporaine tout en conservant les codes et autres éléments traditionnels de la frairie. Ils évoquent également le patrimoine local avec l’image de ce pont qui relie Namur et Jambes.&nbsp;</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur</li></ul><div><br></div>

Les Masuis et Cotelis jambois 

Nean

<div>L’œuvre de Nean représente une adolescente dans un environnement urbain. Il s’agit de la première fresque plébiscitée par des citoyennes et citoyens suite à l’appel aux murs lancé par la Ville de Namur en juin 2018. Nean a grandi à Bruxelles. Autodidacte, il a fait ses débuts sur papier avant de se tourner vers la peinture à la bombe aérosol. En 2014, il rejoint le collectif Propaganza, regroupant une vingtaine d’artistes issus de Belgique, France, Espagne et Angleterre. Influencé par la peinture traditionnelle et l’art numérique, son travail gravite entre un style expérimental et photo-réaliste. Curieux, il multiplie les essais sur des supports de grande taille, alternant peinture numérique, peinture sur mur et peinture sur toile.&nbsp;<br><br></div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur/ Propaganza&nbsp;</li></ul><div>&nbsp;</div><div><strong>&nbsp;</strong></div>

Mona Caron

<div><br>Avec Mona Caron, la nature s’invite dans le monde urbain. À la fois muraliste, illustratrice et photographe, cette artiste suisse, basée à San Francisco, impose ses couleurs aux quatre coins de la planète. Spécialiste de la création artistique dans l’espace public, elle a peint des plantes géantes sur les façades des immeubles des plus grandes métropoles, aux États-Unis, au Brésil, en Bolivie, à Taïwan, mais aussi en Espagne, en Suisse et en Grèce.</div><div>&nbsp;</div><div>Ses réalisations murales célèbrent la résilience rebelle des herbes sauvages et autres créatures clandestines qui fleurissent envers et contre tout. Mona a également créé un art graphique pour lutter en faveur de la justice climatique et d’autres mouvements sociaux. Plus récemment, elle a fusionné ses images botaniques avec des scènes surréalistes, rendant ses métaphores plus narratives et explicites.</div><div>&nbsp;</div><div>Sur cette œuvre créée dans un quartier en pleine transformation, Mona dépeint un atterrissage surréaliste de personnes portées par le vent dans un Namur fleuri. Elle évoque un sentiment de bienvenue et de répit chaleureux.</div><div>&nbsp;<br><br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur</li></ul><div><br></div>

SAM LALOUX

<div><br>Avec cette fresque qui tapisse le pignon du Quai 22 au sein du campus universitaire, Sam Laloux nous raconte une histoire. L’histoire d’un couple, d’une relation intime. Mais libre à chacun d’écrire les dialogues et d’imaginer les sentiments ! Fan de graffitis et de tags, l’artiste namurois a peint un tableau plein de couleur et de sensualité qui évoque le mouvement Pop Art et surtout, les œuvres de Roy Lichtenstein avec ses scènes inspirées par la publicité, la culture populaire et la bande dessinée.&nbsp;</div><div><br><br><br></div><ul><li><strong>Initiée par :&nbsp;</strong>Quai22-Espace culturel de l’UNamur/Ville de Namur</li></ul>

TELMO PIEPER

MIEL KRUTZMANN

<div><br>Sous le pont de Louvain, la fresque de Telmo &amp; Miel mesure près de 60 mètres de longueur. Elle met en scène un chat qu’un enfant essaye d’attirer à lui alors qu’il lorgne lui-même vers un petit rongeur. Ensemble, ces deux muralistes installés aux Pays-Bas ont réalisé des dizaines de peintures murales partout dans le monde. Dans leur démarche artistique, ils travaillent les « <em>points de vue multiples </em>» et les perspectives. Ils jouent sur les transparences et la superposition d'images pour créer des œuvres riches sur le plan iconographique. Avec des références aux mondes humain et animal, ils imaginent des créatures complexes et des scénarios fantastiques avec parfois, des petites touches d’humour ou de romantisme.&nbsp; &nbsp;<br><br>Under the bridge of Leuven, the fresco of Telmo &amp; Miel measures nearly 60 meters in length. It features a cat that a child is trying to attract to him while he himself leers at a small rodent. Together, these two muralists based in the Netherlands have created dozens of murals all over the world. In their artistic approach, they work on "multiple points of view" and perspectives. They play on transparencies and the superimposition of images to create works that are rich in iconography. With references to the human and animal worlds, they imagine complex creatures and fantastic scenarios with occasional touches of humor or romance.&nbsp;<br><br>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / the Crystal Ship&nbsp;</li></ul><div><strong><br><br></strong><br></div>

Propaganza Crew

<div><br>En périphérie de Namur, dans le quartier des Balances, Adrien Roubens et Orkez Trevor du collectif Propaganza ont travaillé avec le Comité de Quartier pour produire cette œuvre monumentale. Située à la croisée du graffiti classique et des nouvelles expériences actuelles, la peinture murale ajoute de la couleur dans une cité de béton.</div><div><strong>&nbsp;<br><br></strong><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur/ Propaganza&nbsp;</li></ul><div><strong><br><br></strong><br></div>

Isaac Cordal (ESP)

<div><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;<br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

Les mini sculptures 

<div>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.<br><br></div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><strong>#Rue des carmes, 8 et 36</strong><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><div><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</div>

<div>&nbsp;<br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;<br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><br>La réalisation de ce Nuancier sur le mur du Chemin des Ecoliers répond au souhait de la Ville de rendre plus accueillant et coloré un lieu de passage fréquenté, chaque jour, par de nombreux étudiants et professeurs. A quelques pas du Jardin du Maïeur, les passants peuvent profiter d’une vue où le gris a laissé place à un arc-en-ciel de couleurs.</div><div><br>The realization of this color chart on the wall of the Chemin des Ecoliers responds to the desire of the City to make more welcoming and colorful a place of passage frequented, every day, by many students and teachers. A few steps from the Jardin du Maïeur, passers-by can enjoy a view where the grey has given way to a rainbow of colors.<br><br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur /Propaganza</li></ul>

Nuancier 

<div><strong>#Angle Rue du Marché/Place du Marché au Chanvre </strong><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan, Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.<br><br></div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.<br><br><br></div><ul><li>&nbsp;<strong>Initiée par : Ville de Namur&nbsp;</strong></li></ul><div><br></div>

<div><br><strong>#Angle rue de la Halle/ rue des Fripiers. </strong>&nbsp;<br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><strong>#Rue Haute Marcelle,8 et angle de la Rue Haute Marcelle/Rue de l'Ange </strong><br><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.<br><br></div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><strong>#Angle Rue Fumal/Rue du Collège</strong><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;<br><br><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><strong>#Angle rue Saint-Joseph et Galerie Saint-Joseph&nbsp; <br></strong><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><div><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</div>

<div><strong>#Angle rue des Fripiers/ rue de l'Ange. </strong>&nbsp;<br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</li></ul>

<div><strong><em>#Facade Ethias Assurance, hôtel de Ville de Namur.</em></strong><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><div><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</div>

<div><strong><em>#Façade du pôle muséal des Bateliers. </em></strong><br><br>Après Londres, Berlin, Paris, Barcelone, Milan ,Malmö ou Bruxelles, les figurines d’Isaac Cordal se sont disséminées dans les rues de Namur, en 2017. Cachées dans une niche ou un éclat de mur, assises sur un rebord au-dessus d’une vitrine ou accrochées à un câble électrique, elles forment un parcours urbain insolite à découvrir à pied entre l’Hôtel de Ville et les Bateliers en passant par le piétonnier et le quartier des Carmes.</div><div>L’artiste espagnol Isaac Cordal utilise la sculpture et la photographie comme moyen d’expression. Pour lui, le street art est une forme de combat. De façon ironique, mais aussi poétique, ses petits personnages racontent une histoire et interpellent les passants. Ils jettent un regard critique sur la société de consommation, s’interrogent sur le sort réservé à notre humanité, attirent l’attention sur l’absurdité de notre existence.</div><div>Isaac Cordal éprouve de l’empathie envers les « petites gens » et invite les passants, au détour d’une rue, à réfléchir sur le rôle et la place que l’on occupe dans la société. Ou tout simplement à poser un regard neuf et curieux sur la ville et ses habitants les plus fragiles.</div><div>&nbsp;</div><div><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Crystal Ship</div>

JEAN-FRANCOIS OCTAVE

<div><br></div><div>En face de l’Académie des Beaux-Arts, cette peinture murale rend hommage à l’artiste namuroise Evelyne Axell, qui fut l’une des seules artistes peintres de Pop Art en Belgique. Elle est ici représentée de manière monumentale et sa silhouette&nbsp; est complétée par des éléments de son œuvre. Née en 1935, Evelyne Axell étudie la céramique à l’Académie des Beaux-Arts de Namur. Après une carrière de comédienne, elle se tourne vers la peinture en 1963 et devient la seule élève de René Magritte. A Londres, elle découvre le Pop Art qu’elle adopte en lui insufflant sa vision féministe. Sa carrière est brutalement interrompue par un accident de voiture, le 10 septembre 1972.&nbsp;</div><div><strong>&nbsp;</strong></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Asbl Lieux-Communs/Ville de Namur et Fédération Wallonie-Bruxelles</li></ul><div><strong>&nbsp;</strong></div><div><br></div>

Hommage à Evelyne Axell 

TAMAR KASPARIAN

<div><br>Dans le Jardin des Poètes, « Chaos végétal » de l’artiste bruxelloise Tamar Kasparian évoque la mutation, un processus sans fin, silencieux, grouillant. De la branche ou de la racine seule, épurée sur fond blanc, ce travail évolue vers un &nbsp; fouillis végétal, une forêt ou une jungle. Simulant une nature luxuriante et envahissante, l’œuvre côtoie des livres-poèmes accrochés aux murs, des chaises du sculpteur québécois Michel Goulet et deux petites sculptures de l’artiste espagnol Isaac Cordal. Le Jardin des Poètes est accessible par le pôle muséal les Bateliers.&nbsp;</div><div><br></div><ul><li><strong>Initiée par </strong>: Ville de Namur</li></ul>

Chaos végétal 

MAXIME LAMBERT

<div><br>La peinture murale "Skills" a été réalisée par deux membres du collectif namurois Drash. Elle prend place sur un mur pignon de l’institut technique Henri Maus. Son nom "Skills", «&nbsp;<em>compétences</em>» en français, fait référence aux diverses qualifications et techniques enseignées au sein de cette école et savamment mixées par Démosthène Stellas et Maxime Lambert</div><div><strong>&nbsp;</strong></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur / Street Art Belgium&nbsp;</li></ul><div><strong><br></strong><br></div>

Skills 

<div><br>Le titre de l’œuvre « Vive Nameur po tot» évoque un chant populaire entonné lors des Fêtes de Wallonie. A travers cette fresque, Kahef a voulu illustrer la passation du patrimoine vers les générations futures, symbolisées par un enfant ouvrant le livre du patrimoine local d’où surgissent deux Echasseurs, ambassadeurs du folklore namurois, en plein combat. Les yeux de l’enfant s’écarquillent montrant ainsi qu’année après année, la magie opère toujours lorsque l’on prend la peine de mettre notre culture en valeur et d’ouvrir les pages du passé.</div><div><br></div><ul><li><strong>Initiée par :&nbsp;</strong>Ville de Namur / Street Art Belgium</li></ul>

Vive Nameur po tot 

DAN BRAULT

<div><br>Au cœur du quartier piétonnier, cette peinture monumentale a été créée par l’artiste de Montréal Dan Brault et réalisée par le collectif bruxellois Propaganza en 2015 pour marquer le 15e anniversaire du jumelage entre Namur et Québec. Dan Brault est connu pour ses univers bariolés, où s’assemblent des formes abstraites et figuratives qui produisent des ensembles joyeusement hétéroclites, voire baroques. Intuitif, l’artiste réussit à traduire l’extrême complexité du monde contemporain.&nbsp; Il faut prendre le temps de parcourir ses tableaux pour déceler les motifs et nombreuses références qui la composent.&nbsp;</div><div><strong><br>Initiée par </strong>: Ville de Namur&nbsp;</div>

Des fleurs pour Namur 

EYES-B

<div><br>A côté de l’Hôtel de Ville, la peinture de Eyes-B. présente un sobre enchevêtrement de formes pleines et colorées d’où se dégagent un rythme lent et un apport généreux de couleurs. L’artiste s’inspire des arts numériques et du graphisme, mais aussi de la musique et du mouvement. Basé à Bruxelles, il a développé sa technique en utilisant celle du « <em>freestyle </em>». Il aime jouer sur l’improvisation, la spontanéité et travaille dans le registre de l’abstrait.<br><br><br><br>Next to the City Hall, the painting of Eyes-B. presents a sober tangle of full and colored forms from which emerges a slow rhythm and a generous contribution of colors. The artist is inspired by digital arts and graphic design, but also by music and movement. Based in Brussels, he has developed his technique using the "freestyle". He likes to play on improvisation, spontaneity and works in the register of the abstract.<br><br></div><div><br></div><ul><li><strong>Initiée par </strong>: Ville de Namur /Street Art Belgium</li></ul>

GALA CAKI

<div><br>L’artiste Gala Caki est spécialisée dans les réalisations de grand format. Originaire de Serbie, elle a fait ses études artistiques à Novi Sad. Elle propose une vision personnelle des paysages urbains, de l’architecture namuroise et de la Citadelle de Namur à travers une stylisation des volumes et des formes architecturales. Des parallèles existent entre les deux villes fluviales que sont Namur et Novi Sad, traversée par le Danube et dominée par une forteresse.</div><div><strong>&nbsp;<br></strong><br></div><ul><li><strong>Initiée par :&nbsp; </strong>Asbl Lieux-Communs</li></ul><div><strong><br><br></strong><br></div>

ANIA ZUBER

SÉBASTIEN GAIRAUD

<div><br>A l’entrée du Jardin du Maïeur, Ania Zuber et Sébastien Gairaud ont reconstitué, avec des traits épurés et des teintes délicates, les deux arbres qui se situaient derrière le mur.&nbsp; Cette peinture peut être vue comme un clin d’œil à Magritte. .Elle interroge la question du rapport au réel, évoque l’illusion sur une forme d’interrogation par rapport à «<em>l’autre côté du pignon </em>».</div><div><br></div><ul><li><strong>Initiée par : </strong>Asbl Lieux-Communs</li></ul>

Ceci n'est pas un arbre 

CITÉCRÉATION

<div>Véritable livre à ciel ouvert situé dans le Jardin du Maïeur, la Fresque des Wallons raconte l’histoire d’une ville, d’une région, d’un pays, à travers des personnages connus (historiques, scientifiques, industriels, sportifs, artistes, sportifs…) ou anonymes. Ce trompe-l’œil monumental constitue un outil culturel, touristique mais aussi pédagogique pour les habitants et les visiteurs.<br><br>Réalisée en 2004 par la CitéCréation (Lyon), la peinture a été entièrement restaurée en septembre2018. Les cinq personnages célèbres qui apparaissent aux fenêtres - Blanche de Namur, Dominique Pire, Ernest Solvay, François Bovesse et Georges Simenon - ont été repeints sur toile dans les ateliers de la CitéCréation et marouflés en lieu et place des anciennes toiles sur le pignon de l’Hôtel de Ville. La partie végétale au bas de la verrière, le vitrail de Charlemagne, l’alpiniste, Muriel Sarkany, le Marsupilami, la Schtroumpfette, le coq Wallon et la sorcière volante Macrâle, ont également été refaits.</div><div>&nbsp;</div><div>Dans la foulée, la Ville a souhaité intégrer de nouveaux personnages. C’est ainsi que l’athlète namuroise Nafissatou Thiam a fait son apparition au pied de la fresque dans une attitude victorieuse. Aux fenêtres, on aperçoit le curé préféré des Namurois, l’Abbé Malherbe apparaît, coiffé d’une casquette, tandis qu’une Amazone de l’artiste Félix Roulin trône fièrement sur la droite de la fresque. De nouveaux noms ont été intégrés sur les tranches de livres : Willy Peers, Namur en Mai, Pairi Daiza.<br><br>A gauche de la Fresque des Wallons, plusieurs sculptures d'Isaac Cordal se cachent sur les murs de l'Hôtel de Ville.&nbsp;<br><br>A real open-air book located in the Jardin du Maïeur, the Fresque des Wallons tells the story of a city, a region, a country, through famous (historical, scientific, industrial, sportsmen, artists, sportswomen...) or anonymous characters. This monumental trompe-l'oeil is a cultural, touristic but also educational tool for inhabitants and visitors.&nbsp;<br>&nbsp;<br>Created in 2004 by CitéCréation (Lyon), the painting was entirely restored in September 2008. The five famous characters who appear in the windows - Blanche de Namur, Dominique Pire, Ernest Solvay, François Bovesse and Georges Simenon - were repainted on canvas in the workshops of CitéCréation and mounted in place of the old paintings on the gable of the Town Hall. The vegetal part at the bottom of the glass roof, the stained glass window of Charlemagne, the mountaineer, Muriel Sarkany, the Marsupilami, the Smurfette, the Walloon rooster and the flying witch Macrâle, were also redone.&nbsp;<br>&nbsp;&nbsp;<br>In the wake of this, the City wished to integrate new characters. Thus, the Namur athlete Nafissatou Thiam appeared at the foot of the mural in a victorious attitude. In the windows, we see the favorite priest of Namur, Father Malherbe, wearing a cap, while an amazon of the artist Felix Roulin proudly sits on the right of the mural. New names were integrated on the edges of the books: Willy Peers, Namur en Mai, Pairi Daiza.&nbsp;<br>&nbsp;<br>To the left of the Fresque des Wallons, several sculptures by Isaac Cordal are hidden on the walls of the City Hall.&nbsp;<br><br>&nbsp;</div><div><strong>Initiée par : </strong>Ville de Namur</div>

Artworks in Namur