C'est un véritable chantier artistique et participatif qui s'est concrétisé à Romainville: après celle consacrée à l'activiste pakistanaise Malala, la nouvelle fresque du programme « La place de la femme dans l'espace public»
L'auteure de la fresque, l'artiste toulousaine Vinie, a pioché dans les idées des enfants du centre social Marcel Cachin : « Il y avait quelques idées qui ressortaient : la nature, la femme forte et celles qui ont marqué l'Histoire. J'ai essayé de m'inspirer de ces idées lorsque j'ai élaboré ma fresque. »

Une participation sur plusieurs niveaux, puisque Sonia a soumis deux projets aux locataires de la résidence, qui ont pu exprimer leur choix au travers d'un vote.

Un résultat qui perpétue l'ambition du programme, qui cherche à réinvestir les femmes et leur image dans l'espace urbain. Vinie témoigne : « Dans le street art, les femmes n'étaient pas nombreuses il y a 20 ans, c'est donc important pour moi d'intégrer la femme dans le street art. Cela permet de mettre les femmes dans la rue, de les montrer autrement. » 
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It is a real artistic and participatory project that has materialized in Romainville: after the one dedicated to the Pakistani activist Malala, the new fresco of the program "The place of women in the public space"
The author of the fresco, the Toulouse artist Vinie, drew on the ideas of the children of the Marcel Cachin social center: “There were a few ideas that stood out: nature, the strong woman and those who marked history. I tried to draw inspiration from these ideas when I designed my fresco. »

Participation on several levels, since Sonia submitted two designs to the tenants of the residence, who were able to express their choice through a vote.

“People are very happy with their neighborhood,” comments Vinie. This gives a bit of color, life and above all dreams to the building. »

A result that perpetuates the ambition of the program, which seeks to reinvest women and their image in the urban space. Vinie testifies: “In street art, women were not numerous 20 years ago, so it is important for me to integrate women into street art. This makes it possible to put women in the street, to show them differently. »