A l’entrée du Jardin du Maïeur, Ania Zuber et Sébastien Gairaud ont reconstitué, avec des traits épurés et des teintes délicates, les deux arbres qui se situaient derrière le mur. Cette peinture peut être vue comme un clin d’œil à Magritte. .Elle interroge la question du rapport au réel, évoque l’illusion sur une forme d’interrogation par rapport à «l’autre côté du pignon ».