Daniel Pelletti est un peintre belge, né à Haine-Saint-Paul le 25 septembre 1948. Il est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Mons (atelier de Gustave Camus) et a longtemps enseigné (notamment à l’École des Arts de Braine-l’Alleud et à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles). Il a également été directeur de l’École des Arts de Braine-l’Alleud.
Expositions solo et collectives régulières (Galerie Nardone à Bruxelles/La Louvière, Musée Ianchelevici, autres galeries belges).
Prix et distinctions : lauréat du Prix du Hainaut (1979) et récompenses de l’Académie royale, entre autres distinctions.
Le projet pour le stade de la RAAL.
Le club et la Galerie Nardone ont commandé une série de 40 œuvres de Daniel Pelletti — projet intitulé autour de « La Louvière » — pour décorer l’enveloppe extérieure du nouveau stade (les bâches / panneaux extérieurs). Les premières toiles/bâches ont été présentées au public à la Galerie Nardone avant leur pose sur le stade.
Voici ce que j’ai pu trouver comme explications / interprétations des 40 bâches (“La Louvière Là”) de Daniel Pelletti pour le nouveau stade de la RAAL — ce qu’elles représentent, leurs thèmes, leur intention, etc. Si tu veux, je peux aussi essayer de retrouver des visuels pour chaque œuvre pour te les décrire.
Ce qu’elles représentent
1. Histoire locale
Les œuvres racontent l’histoire de La Louvière : ses origines industrielles, le passé ouvrier, les bâtiments emblématiques.
2. Bâtiments et lieux symboliques
On y trouve des représentations de lieux qui structurent l’identité de la ville — architecture, éléments patrimoniaux, sites connus. Ce sont autant de repères visuels pour les habitants.
3. Personnalités
Certaines œuvres évoquent des figures locales emblématiques. L’artiste n’a pas représenté tout le monde, mais a choisi celles qui lui paraissaient importantes pour le récit de la ville.
4. Vie associative, culturelle, quotidienne
Il y a aussi des œuvres qui illustrent la culture locale, la vie de tous les jours, les associations, les passions, les chants, etc. Ce n’est pas uniquement historique, mais vivant, présent.
5. Couleurs, rythme, subjectivité
Daniel Pelletti assume sa subjectivité : ce ne sont pas des photos ou des représentations neutres, mais des relectures personnelles, avec un style expressif. Il s’intéresse beaucoup à la couleur et au rythme des compositions — ça donne du dynamisme, c’est vivant.
6. Autoportrait final
Parmi les 40 œuvres, l’une d’elles est un autoportrait de l’artiste pour clore le cycle.
L’intention / le propos
Faire dialoguer art et foot, mêler ces deux passions pour la communauté : le stade ne sera pas juste un espace sportif, mais un espace culturel, un lieu de mémoire.
Valoriser l’identité de La Louvière, permettre aux spectateurs et passant·es de “lire” la ville, de retrouver ses racines, ses histoires, ses personnages.
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Daniel Pelletti is a Belgian painter, born in Haine-Saint-Paul on September 25, 1948. He graduated from the Académie des Beaux-Arts in Mons (studio of Gustave Camus) and taught for many years (notably at the École des Arts in Braine-l’Alleud and at the Royal Academy of Fine Arts in Brussels). He also served as director of the École des Arts in Braine-l’Alleud.
Exhibitions: Regular solo and group shows (Galerie Nardone in Brussels/La Louvière, Musée Ianchelevici, other Belgian galleries).
Awards and distinctions: Winner of the Prix du Hainaut (1979) and distinctions from the Royal Academy, among others.
The project for the RAAL stadium
The club and Galerie Nardone commissioned a series of 40 works by Daniel Pelletti — a project titled “La Louvière” — to decorate the exterior envelope of the new stadium (the outdoor banners/panels). The first canvases/banners were presented to the public at Galerie Nardone before being installed at the stadium.
Here is what I was able to gather as explanations/interpretations of Daniel Pelletti’s 40 banners (“La Louvière Là”) for the new RAAL stadium — what they represent, their themes, their intention, etc. If you’d like, I can also try to find visuals for each work to describe them.
What they represent
1. Local history
The works tell the story of La Louvière: its industrial origins, its working-class past, its emblematic buildings.
2. Symbolic buildings and places
They include representations of landmarks that structure the city’s identity — architecture, heritage elements, well-known sites. These serve as visual reference points for residents.
3. Personalities
Some works evoke emblematic local figures. The artist did not depict everyone, but chose those he considered important to the city’s story.
4. Community, cultural, and daily life
There are also works illustrating local culture, everyday life, associations, passions, songs, etc. It’s not only historical, but living and present.
5. Colors, rhythm, subjectivity
Daniel Pelletti embraces subjectivity: these are not photos or neutral depictions, but personal reinterpretations in an expressive style. He pays particular attention to color and rhythm in his compositions — bringing dynamism and vitality.
6. Final self-portrait
Among the 40 works, one is a self-portrait of the artist to close the cycle.
The intention / the message
To create a dialogue between art and football, blending these two passions for the community: the stadium will not be just a sports venue, but also a cultural space, a place of memory.
To highlight the identity of La Louvière, allowing spectators and passersby to “read” the city, to reconn
ect with its roots, its stories, and its people.
Date created | Jun 27, 2025 |
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Camera used | HONOR PTP-N49 |
Marker type | artwork |
City | La Louvière |
Country | Belgium |